Chantier SolidarCité

Chantier Solidarcité – 23-24-25 avril 2019

Nous revoici à pied d’œuvre pour une 4e collaboration avec Solidarcité. Cette année ce sont les antennes d’AMO (Aide à la Jeunesse en milieu Ouvert) de Charleroi, Braine-lAlleud et Ottignies qui nous prêtent mainforte pour améliorer quelques espaces de la Réserve. Ottignies sera présent seulement le 23. Les deux autres jours ils vont satteler à la préparation dun voyage de travail au Canada qui aura lieu dans 3 semaines.

Toujours au programme : la continuation du sentier « Indiana Jones » dans le versant menant à l’ancienne carrière nord. Lentement mais sûrement au fil du temps (et de la sueur des constructeurs) les marches sajoutent les unes aux autres Faire la chasse aux Buddléas et aux petits ligneux sera une autre priorité et, si le temps le permet, on se fera de bons feux de joies avec les branchages amassés lors des gestions précédentes

Nous profitons d’être en force le mardi pour faire avancer les choses. Dès larrivée de lantenne de Charleroi, JPC s’en va avec deux jeunes volontaires continuer le sentier à l’aide des tiers de billes SNCB tronçonnées le 7 avril. Les autres jeunes de l’équipe carolorégienne et leur éducateur vont tronçonner les gros saules penchés qui menacent de tomber sur le sentier qui descend de la carrière nord. Cet important travail s’étalera sur 3 jours, tant il y a de bois à couper et ranger hors du chemin ! (Voir les photos).

Peu après 10h00 les antennes de Braine et Ottignies nous rejoignent. Quelques jeunes restent avec moi sur lesplanade. Nous débarrassons à la pioche et à l’ébrancheur le bosquet jouxtant le panneau didactique dune bonne quantité de Buddléas déjà bien avancés que nous portons sur un ancien tas. En soulevant une bande transporteuse nous découvrons un joli groupe de petits Crapauds calamites qui se mettent à courir dans tous les sens. Nous les rassurons bien vite en rabattant doucement leur abri

Les autres jeunes avec les 3 éducateurs sattaquent à quelques imposantes cépées qui encombrent encore la prairie « à papillons ». Les pioches doivent creuser profond pour extraire les larges souches la sueur coule des fronts, les pulls sont vite laissés de côté.

Vers 12h00 tout le monde se rassemble près des camionnettes pour le petit briefing habituel : JPC et moi dressons le « portrait » de la réserve : un peu dhistoire et de géologie, limportance de préserver certains milieux ouverts. Nous faisons circuler quelques illustrations et documents qui éclairent nos infos.

Les activités du matin se poursuivent l’après-midi, la température de plus en plus élevée ralentit un peu les ardeurs mais à 15h30 le bilan est déjà très positif !

Mercredi 24 nous profitons de la matinée toujours ensoleillée (mais très ventilée …) pour avancer sur trois fronts : les marches, le tronçonnage et … l’épilation du fond de la grande esplanade où pas mal de petits ligneux se sont réimplantés. Quelques brouettées bien chargées sen vont rejoindre les buddléas arrachés hier … Dès 14h00 les nuages samoncellent, annonciateurs de la zone de pluie prévue par la météo Sans hésitation, avec André arrivé pour l’après-midi, nous rassemblons les branchages à brûler et y mettons le feu, à trois endroits différents, les tas étant trop imposants et distants. Après quelques essais infructueux les feux prennent vivement et de hautes flammes consument les branchages bien desséchés par le fort vent douest. La pluie arrive peu après, juste à temps pour rafraîchir les sols après nos brasiers*.

Jeudi 25, dernier jour, la météo se dégrade. Julien nous rejoint pour la journée. Le matin, nous arrivons à placer 4 marches bien haut déjà dans la volée de l’escalier « Indiana Jones » pendant qu’une partie de l’équipe termine avec efficacité le tronçonnage des arbres jetés dans le sentier par la tempête de mars. L’après-midi, sous une fine pluie soutenue, nous ratissons les aires de feux afin de rassembler les bouts de bois incomplètement carbonisés sur un seul tas en vue d’un prochain feu définitif*. Vers 15h, nous quittons le site de la RNBC, satisfaits de tout ce qui a été fait en trois jours !

Encore un immense merci à tous !!! Aussi à Philippe, venu mercredi matin remettre à jour le grand panneau didactique. Le voici tout pimpant pour accueillir les visiteurs.

Eveline et Jean-Pierre – Conservateurs

* Nous préférons éliminer nous-mêmes les tas de branchages afin d’éviter la mésaventure du lundi 22 … Sébastien a dû appeler les pompiers pour un gros feu de branchages bien secs juste derrière le talus … l’incendie a sans doute été causé par un « barbecue non autorisé » allumé par des visiteurs indésirables près des buddléas coupés fin de lan dernier et attisé par le fort vent d’Est.

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Nouvelle intervention des Scouts – samedi 2 mars 2019

Balade matinale et visite aux scouts au bout de la Réserve – samedi 2/03/2019

 

Malgré une météo incertaine,une petite vingtaine de scouts de la 7ème TO de Mont-sur-Marchienne Haies sont venus travailler à la réserve.Nous avons profité du défrichage du grand roncier par Natagora à l’automne dernier pour accéder aux nombreux déchets déposés aux arrières de certaines propriétés de la rue des Hayettes par d’anciens riverains peu scrupuleux…Vu leur état, ces nombreux déchets en tout genre (vieille lessiveuse,cuisinière,vélo,tôles..) devaient être là depuis près de 30 ans. Grâce à l’action des scouts,plus d’une demi tonne sont parti vers un recyparc. Quelques scouts ont également amélioré le chemin d’accès pour le tracteur vers cette grande prairie. Merci aux scouts pour leur disponibilité et leur motivation à rendre service ! Encore quelques après-midis de nettoyage, et tout sera éliminé !

Etienne Dayez

 

Munie de jumelles et appareil photo, je vais me balader dans la Réserve, histoire d’observer les premiers signes du printemps et de guetter le retour des batraciens dans les différentes mares, la semaine ayant été plus que printanière.

Je commence par une visite au roncier, tout au bout de la réserve. L’espace fauché par Vincent à l’automne est toujours bien dégagé. Il faudra évidemment surveiller les inévitables repousses printanières …

Pas beaucoup d’oiseaux, les migrateurs vont seulement revenir … un chant de Grive musicienne, les « piouuuu » de deux grandes buses qui planent dans le ciel gris. Quelques mésanges et grimpereaux font entendre leur chant caractéristique et une petite troupe de geais croasse à pleins poumons … les roselières sont silencieuses, bien en eau après les dernières pluies. Mais pas encore de batraciens, les nuits sont encore trop fraîches … je découvre un seul petit alyte et deux tritons sous une plaque de compressé en mauvais état.

Je photographie un beau lichen, une ligne de pimpantes pezizes rouges au pied du sentier qui monte vers la carrière Nord. Découverte moins sympathique : un gros tas de vêtements derrière un sac de sport et un sac à dos, abandonnés au pied du « belvédère ».

Sur l’esplanade Sud c’est un reste de feu avec d

es canettes brûlées qui attire désagréablement mon attention. Je venais juste de photographier le vélomoteur cramé repéré quelques jours plus tôt …

Mais il y a aussi d’intéressants lichens de sol, des petites mousses vert clair et de belles stations de nostoc*, témoins que la nature reprend vigueur dans ce milieu pionnier …

Voilà les scouts, accompagnés de 3 dirigeants, qui traversent la réserve pour aller débarrasser le roncier des gros déchets de toute nature qui l’encombrent encore …

Nous allons les retrouver courant d’après-midi, la remorque d’Etienne est déjà bourrée d’encombrants, destinés au parc à conteneurs, 4 brouettes bien chargées attendent d’être véhiculées … Après ce joli boulot, les scouts font cuire quelques saucisses sur des bouts de bois, à l’abri des grands charmes qui les protègent du petit crachin intermittent. La bonne humeur règne ! Un grand merci à eux tous et à Etienne pour ce grand nettoyage !

Eveline KIEVITS – Conservateur

 

*nostoc : Cyanobactéries qui font la photosynthèse et fixent l’azote. Ce sont des espèces pionnières. Elles peuvent former des masses gélatineuses importantes, évoquant certaines algues. Leur discrétion lorsqu’elles sont déshydratées et la rapidité de leur turgescence lorsqu’elles sont exposées à l’humidité ont fait croire qu’elles tombaient du ciel, d’où leurs noms de « crachat de lune ». Ce sont des espèces pionnières pouvant vivre sur des substrats pauvres et basiques. Elles protègent les sols de l’érosion et contribuent à former la matière organique des sols.

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Mais il y a aussi d’intéressants lichens de sol, des petites mousses vert clair et de belles stations de nostoc*, témoins que la nature reprend vigueur dans ce milieu pionnier …

Voilà les scouts, accompagnés de 3 dirigeants, qui traversent la réserve pour aller débarrasser le roncier des gros déchets de toute nature qui l’encombrent encore …

Nous allons les retrouver courant d’après-midi, la remorque d’Etienne est déjà bourrée d’encombrants, destinés au parc à conteneurs, 4 brouettes bien chargées attendent d’être véhiculées … Après ce joli boulot, les scouts font cuire quelques saucisses sur des bouts de bois, à l’abri des grands charmes qui les protègent du petit crachin intermittent. La bonne humeur règne ! Un grand merci à eux tous et à Etienne pour ce grand nettoyage !

Eveline KIEVITS – Conservateur

 

*nostoc : Cyanobactéries qui font la photosynthèse et fixent l’azote. Ce sont des espèces pionnières. Elles peuvent former des masses gélatineuses importantes, évoquant certaines algues. Leur discrétion lorsqu’elles sont déshydratées et la rapidité de leur turgescence lorsqu’elles sont exposées à l’humidité ont fait croire qu’elles tombaient du ciel, d’où leurs noms de « crachat de lune ». Ce sont des espèces pionnières pouvant vivre sur des substrats pauvres et basiques. Elles protègent les sols de l’érosion et contribuent à former la matière organique des sols.

Plantations du talus !

Tronçonnage et plantations sur le talus devant la Réserve

Jeudi 20/12/2018

Armés de pioches, de tronçonneuses (merci à JPD et Guillaume pour l’indispensable matos !) et d’une bonne dose d’énergie, nous étions 4 à braver le temps océanique de ces derniers jours pour continuer l’aménagement du talus protecteur de la Réserve.

Guillaume et Jean-Pierre se sont attelés au tronçonnage et à l’évacuation des nombreux buddléas de toutes tailles (dont certains déjà bien gros !) qui se sont implantés sans vergogne sur le dessus et les versants du haut talus construit par le carrier en 2012 pour protéger la réserve des intrusions motorisées … Le résultat est à la hauteur de leur travail intensif : la plupart des buddléas gisent en tas derrière le talus. Nous n’avons pas encore décidé du traitement à leur réserver … Quelques gros buissons seront encore à éliminer, lors d’une prochaine gestion.

Andrée et moi-même nous sommes concentrées sur la plantation des arbustes divers (tous indigènes !) que nous avions amenés de nos jardins : petits prunelliers, aubépines, houx et groseilliers épineux, plus 4 saules récupérés sur place, juste derrière le talus. De bons coups de pioche ont été nécessaires dans le sol très caillouteux du remblai ! Nous espérons que les arbustes arriveront à enfoncer leurs racines dans ce substrat pas très accueillant ! Plus de 20 m de « haie » sont à présent plantés.

Le boulot est loin d’être terminé : il reste une soixantaine de m à « garnir » si nous voulons couvrir de manière dissuasive l’entièreté de la crête, jusqu’au viaduc. Il faudra aussi recomposer une ligne de gros cailloux bien serrés au pied du talus. Ceux posés par le carrier ont en effet été déplacés à certains endroits.

Cette double barrière naturelle devrait empêcher le passage par le talus. L’entrée pédestre de la réserve se situe en effet par le sentier qui longe l’ancien bief du moulin. Elle sera prochainement indiquée par un fléchage approprié que viendra compléter un balisage des sentiers.

Encore un tout grand merci à chacun !

Eveline KIEVITS – Conservateur

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Natagora nous donne un sacré coup de … broyeur !

Le 15 novembre 2018, Vincent et Florian de Natagora sont venus au Brun Chêne avec un petit tracteur d’une cinquantaine de CV muni à l’arrière d’un broyeur de 1,50 m et déporté vers la droite.

C’est déjà une petite expédition pour atteindre la réserve venant de la région de Mons avec un lourd attelage sans prendre d’autoroute.

 

Pour commencer, il faut tondre la moitié droite du chemin longeant le chemin de fer vers le roncier situé au nord de la réserve.

Après un peu de slalom à travers une partie heureusement sèche du marécage nord, l’équipe atteint le roncier et le broyage peut commencer.

 

L’opération est efficace malgré les hautes ronces; l’engin chauffe bien un peu et il vaut mieux travailler avec le capot ouvert.

Il faut dire qu’en plus des ronces bien développées, il y a encore de nombreux déchets sous les arceaux épineux.

Des tôles métalliques, des fils barbelés, du grillage de clôture et bien d’autres objets usagés indésirables.

Tout cela a bien ralenti le travail vu qu’il faut s’arrêter plus d’une fois et « détouiller » tout ce qui s’enroule dans le broyeur.

 

Au final, c’est la moitié du roncier qui prend une toute autre allure.

Un espace central est maintenant bien dégagé, ce qui va faciliter l’enlèvement des détritus lors des futures gestions.

Pour terminer, le tracteur fauche l’autre moitié du long chemin d’accès lors du retour vers la remorque.

 

Bravo pour cette démonstration sur le site de ce qu’il est possible de faire avec un engin adéquat !

 

Laissons la conclusion à Vincent Swinnen :

«  A plus long terme, la fauche n’a de sens en terme de biodiversité que si l’on peut faire une certaine exportation pour appauvrir un peu le sol et diversifier un peu la végétation. 

Sinon on peut envisager de clôturer et de réaliser un pâturage ponctuel. 

La partie basse de la prairie (le long du chemin de fer) semble quand même la plus intéressante, car plus humide.» 

Texte et photos Jean-Pierre Coqlet

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Deuxième journée de support des jeunes de l’IPPJ de Wauthier-Braine le 19 novembre

Deuxième journée de travail avec l’IPPJ de Wauthier-Braine – (lundi 19/11/2018)

Vent du nord-est piquant mais pas de pluie pour une journée pleine d’énergie et de bonne humeur, malgré l’absence de soleil.

Quatre jeunes encadrés par Cindy et Grégory ont fait place nette sur les espaces derrière la grande roselière proche des fours à chaux.

Nous avons essayé de faire un bon feu avec les arbustes arrachés le 7, mais les bois encore trop humides ont refusé de s’enflammer, malgré tous les efforts de JP et des jeunes … efforts qui les auront finalement bien réchauffés !

Après cinq heures de travail soutenu le résultat est bien visible !  Les espaces devant et derrière le grand panneau sont complètement dégagés, ainsi que les deux esplanades de part et d’autre du sentier tout proche.  Un jeune a même réussi à arracher deux gros bouleaux … sans outils !

Encore un grand merci à tous les 6 pour cette chouette collaboration !

 

Eveline et Jean-Pierre

Conservateurs

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Support des jeunes de l’IPPJ de Wauthier-Braine le 7 novembre

Une journée bien remplie avec l’aide de l’IPPJ de Wauthier-Braine

Nous nous étions rencontrées à la réserve lors de ma visite guidée et Cindy s’était montrée enthousiaste à l’idée de pouvoir venir nous aider avec quelques jeunes.

L’idée s’est concrétisée ce mercredi 7 novembre : 4 jeunes encadrés par Cindy, une autre éducatrice et un éducateur nous ont donné un fameux coup de main, bravant l’humidité distillée dès la fin de la matinée par un petit crachin lancinant …

En début d’après-midi, Julien est venu rejoindre notre équipe de 6 défricheurs.

Bilan de presque 5 heures de travail :

  • Pose de 3 marches supplémentaires, sur notre sentier « Indiana Jones », sous la conduite de Jean-Pierre. La montée vers la carrière nord y gagne en confort !
  • De grosses cépées et une flopée d’arbustes arrachés de haute lutte à la « prairie à papillons ».   Seule victime (en plus des cépées) : une pioche qui y a laissé le manche
  • Un espace bien dégagé entre roselière et panneau didactique : là aussi quelques grosses cépées ont été dessouchées (après de durs combats !) et plein de petits ligneux déracinés (dont pas mal de Buddléas …).

Un tout grand merci aux jeunes, à leurs éducateurs et à Julien, ils n’ont pas ménagé leurs forces !!!

Eveline et Jean-Pierre, Conservateurs

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